lundi 16 février 2009

La gestion de ladite crise

Je continue ma démarche pour essayer à ma manière de faire connaître mon livre. J'ai pris conscience en discutant avec mon éditeur de la difficulté à appréhender l'échelle de temps qui est associée à la publication d'un livre. Celle-ci est différente du monde industriel automobile ou tout va très vite de nos jours. Je suis un peu trop impatient et dois apprendre à attendre un déclic. Dans tout les cas, il me faut insister...


En parallèle, et pour parler de la crise, je souhaite l'aborder d'une manière différente :

Si il est sans appel que le plus important est de gérer les situations difficiles de ceux qui vont rester sur le bord de la route, il est également d'autres comportements qu'il faut gérer.



En effet, il y a aussi ceux qui restent. Les managers se doivent en parallèle de motiver ceux qui veulent avancer et aideront la société à passer le cap. Ces personnes iront chercher la motivation dans "leur tripes" mais le complément nécessaire doit être amené par le management. Celui-ci doit donner un sens aux décisions prises, fixer de nouveaux objectifs et indiquer les jalons à passer pour atteindre les buts définis et partagés avec l'équipe.



Je constate dans les commentaires qui me sont fait et par mon vécu une sous estimations de cet aspect du management en temps de crise. Espérons une correction rapide pour construire rapidement une nouvelle machine à remettre en marche et à laquelle viendront se connecter nombre de personne lorsque tout se remettra en marche.


Souhaitons par contre que la machine qui viendra se remettre en route aura modifié certaines règles avec plus de d'honnêteté et un retour à une échelle plus humaine du management, des périmètres géographique et de la vie de chacun! Pas une volonté de croissance permanente mais une maîtrise équilibrée des besoins. A nous de mettre en face les moyens et les organisations adéquates...

lundi 2 février 2009

Retour à la charge

Le thème retour à la charge est effectif pour 2 domaines différents :


Le premier est le domaine de mon activité professionnelle. En complément de mes activités actuelles, je viens d'être "nommé" sur un projet très intéressant pour moi, tant au niveau technique qu'au niveau relationnel. Je ne souhaite pas en parler plus longuement mais simplement pour justifier, si il se doit, mon manque de contribution à ce blog...


Le second est le domaine littéraire car en dépit de l'activité décrite ci-dessus, il me faut repasser à la charge pour aider le destin qui répondra de la réussite de mon livre : Sans le support de l'auteur, comme me l'a répété mon éditeur, les chances sont limitées.

Il faut donc que je prolonge mes prises de contact et c'est ce que je fais depuis quelques jours pour faire précipiter la réaction chimique que je tente de réaliser dans cette expérience littéraire.


En terme de sujet d'actualité, je souhaite, même si cela manque d'originalité, parler un peu de la crise. Mon livre se situe au coeur de celle-ci puisqu'on y trouve les réflexions d'un acteur du monde automobile, fortement touché. Nombre des 45 000 chômeurs supplémentaires de décembre 2008 sont dans ce secteur malheureusement...

Les auteurs à succés sont souvent repérés par les thèmes qu'ils choisissent, je ne prétend pas être un grand auteur mais je pense pouvoir affirmer que mes propos sont dans une thématique qui mérite d'être discutée.

Mes propos à ce sujet sont je le pense intéressants et peuvent être support pour communiquer sur le sujet de la crise avec une analyse économique mais aussi et surtout, des solutions pour comprendre et se protéger de ce système industriel.

Le faible recul qu'on a à ce jour nous laisse à penser que les décideurs industriels profitent de l'effet d'annonce pour nettoyer leurs troupes. Certains le font de manière forcée, puisque contraints par des clients dits partenaires...mais je pense que d'autres profitent du mouvement à des fins manipulatrices...
Espérons que l'effet amplificateur ne sera pas trop marqué, mais admettons la nécessité d'un coup brutal pour amorcer un changement dans les mentalités. Cela afin d'arrêter les paris risqués et autres absurdités que génère le dérèglement des échelles géographiques.