lundi 30 novembre 2009

Image entreprise et Salarié

J’ai lu le rapport demandé par Altédia et disponible sur le site de TNS SOFRES (http://www.tns-sofres.com/points-de-vue/6EC44FC8817543B388B4DC79D771BCCB.aspx)


C’est très intéressant et en parfaite relation avec mon livre. Je vais donc tenter un rapprochement sur le sujet et reprends de mon côté les 3 points que j'estime essentiels :

a) Le salarié souffre d’un manque de positionnement dans l’organigramme de l’entreprise :
. La reconnaissance est envisageable dans le cadre d’un travail suivi et analysé en commun avec la hiérarchie. Ce n’est plus souvent le cas,

. On doit trouver son rôle et l’inclure dans une chaîne logique et non interrompue. Le fonctionnement « services centres de profit » enlève cette notion de réel travail en équipe,

. L’autonomie est une preuve de reconnaissance et d’aptitude, elle est envisagée de manière trop partielle dans certains cas et les managers intermédiaires n’ont pas suffisamment de pouvoir de décision,

b) Les valeurs de l’entreprise s’effacent au détriment de la rentabilité court terme :

. Pas en accord avec l’échelle humaine long terme,

. Disparition de la notion de solidarité qui ne peut et ne doit pas se dissocier du mot entreprise,

. L’écoute de chacun est de plus en plus substituée, comme dans la vie de tous les jours, à la loi du plus fort (je veux dire celui qui crie le plus fort, qui râle le plus),

c) Les salaires et primes ne sont pas à l’échelle humaine :

. Cela décrédibilise les gros salaires qui passent pour des abusifs en quête de « toujours plus »,

. Cela généralise leur image négative alors que des salaires importants sont tout de même justifiés, mais pas dans les excès actuels,

. L’absence de possibilité de comparaison enter un salaire excessif et la réalité d’un cadre/employé renforce le creux entre ces 2 mondes qui est de plus en plus marqué,

Enfin, le stress est différent, il est généré par une pression par l’enjeu qui génère un stress négatif. On a oublié la pression par le jeu qui génère un trac positif. J’aimerai prolonger ce débat, sans polémique et avec objectivité…
Je vais donc continuer mes démarches et, en parallèle ,continuer à tenter avec mes contacts avec France Inter et l’équipe d’Isabelle Giordano.

dimanche 1 novembre 2009

Solidarité nécessaire

Dans mon actualité, j'ai quitté ma société et me suis lancé dans un master "Management des Industries pharmaceutiques et technologies médicales" à Lyon 3 (I.A.E.). Le contenu des cours est très intéressant, tant au niveau médical qu'au niveau Management et compréhension du contexte socio économique. Une richesse qui me servira dans l'écriture de mon second livre...puisque je me suis lancé dans cette nouvelle aventure. Les nombreuses notes que je prends depuis la fin de "Voyage au fond de l'esprit" me seront très utiles! La différence, c'est que c'est sous la forme d'un roman que je vais essayer d'écrire. Je pense que les essais, sans notoriété, ne touchent pas un public très facilement large.

En sujet, je souhaite parler de la nécessaire solidarité qu'on doit retrouver. Il faut repenser notre environnement proche en regardant les supports qu'on peut apporter aux autres et ce qui pourrait à l'inverse nous aider. On va vite réaliser que ces besoins sont faits de choses simples et de vrais besoins humain. En complément, le fait de se poser pour penser de cette façon aura un second effet : Celui de ralentir le système qui s'emballe.

Dans le monde de l'entreprise, on constate une heureuse prise de conscience d'un impact de l'ambiance de travail sur notre bien-être. Il est heureux que l'entreprise s'en inquiète mais cet équilibre doit être construit par l'employé lui même. L'entreprise doit lui donner la possibilité et donc le temps d'échanger avec les autres, mais pas dans le cadre d'une structure préétablie par la société qui nous emploie.

Ce n'est pas à la société qui nous emploie de venir créer cet équilibre par une sorte de corporatisme d'entreprise. Elle doit, dans notre charge de travail, laisser un champ libre à l'employé pour aller s'exprimer en dehors.
Si cet équilibre vie privée/vie professionnelle est crée par l'entreprise, c'est un asservissement masqué. L'intervention de l'entreprise doit donc se limiter à des regroupements permettant aux employés d'échanger hors de la structure de travail et les CE sont là pour cette tâche qui est déjà difficile.


Je vous invite à aller voir les liens dans la rubrique plus bas qui, pour moi, sont des bases bases pour inspirer notre réflexion...

mardi 8 septembre 2009

Le retour après s'être ressourcé

C’est à la fois la paresse et le plaisir de me ressourcer avec ma famille qui est cause de cet écart entre la date de cet article et le précédent. Ma situation professionnelle m’a autorisé une longue période pendant laquelle j’ai profité de ma famille et de mes proches. Maintenant, c’est en trépignant que j’attends la reprise d’une activité forte…
Si un fait a marqué mes vacances et mérite d’être sujet de cet article, c’est le constat évident, en observant le monde qui nous entoure, d’un non respect de l’être humain en tant que personne.

Côté vie au quotidien, le mode de gestion des administrations, les activités des personnes, les jeux qu’on observe entre enfants sont autant d’exemples. C’est celui qui râle qui est entendu, les gens s’agressent rapidement avant de prendre le temps de se comprendre, les jeunes se jugent par leur tenues vestimentaires ou le niveau high-tech du portable qu’ils ont.
Le dernier exemple en date qui offusque les gens est ce jeu de rôle dans lequel on est un clochard du nom de « Clodogame ». C’est pour beaucoup une atteinte au respect mais c’est pour moi la cerise sur le gâteau d’une quantité de conneries (jeux, téléréalité, presse people, luxe, superflu,… ) qu’on nous met à disposition pour dénigrer le genre humain et nous éloigner chaque jour un peu plus de la frugalité et la simplicité vers laquelle on doit retourner.
Comme j’aime le faire, je mets cela en parallèle avec les modes de management en entreprise qui, trop souvent, poussent les gens avec des phrases du type : « Dans ce type d’organisation tu seras responsable de ton projet, à toi de saisir dans l’organisation les personnes dont tu as besoin ». En raisonnant ainsi, on segmente les organisations pour multiplier les centres de profit mais l’effet négatif est une mise en compétitions des personnes.

Je m’explique : Pour être entendu, il faut crier le plus fort. Les valeurs que sont le respect de chacun, la liberté et égalité ne sont plus mises en avant. C’est pourtant elles qui sont supposées nous maintenir vers un équilibre via un universalisme. A l’inverse, ce dérèglement entraîne une course à l’individualisme qui vient renforcer le manque de solidarité déjà flagrant de nos jours et accentuer les phénomènes de violence, solution parmi d’autres pour être respecté.
Les rapports humains doivent se rester à échelle de l’homme. Communiquer en conservant les valeurs qui évitent les rapports de forces et empêcheront les laissés pour compte de se réfugier dans des guerres de gang ou autres querelles où seule l’appartenance à un groupe donne un sens alors qu’on appartient déjà tous à ….l’espèce humaine.
Sans prise de conscience de ce phénomène, on va oublier de prendre le temps de vivre et d’y prendre du plaisir. C’est comme cela qu’on va oublier d’aimer, de le dire à ceux qu’on aime et prendre le temps de, simplement, passer des bons moments avec notre entourage…

dimanche 14 juin 2009

Capitalisme, jeux ou stratégie

Après la dédicace de mon livre sur mon lieu de travail, j'ai été vraiment satisfait par les discussions que j'ai pu avoir avec ceux qui ont pris le temps de venir me parler. Je remercie le CE ainsi que les personnes qui ont pris le temps de venir échanger. En jouant au jeu d'ouvrir un chapitre au hasard et de discuter sur le sujet, j'ai confirmé mon idée que ces écritures, sans être des vérités, amènent à discussion.

L'une d'elle a été assez intéressante. Le débat est venu sur les 2 types de capitalisme qu'on retrouve actuellement sur la planète : Celui de type Américain, court terme et basé sur l'emprunt et celui de type Rhénien (allemand), basé sur le long terme et l'épargne.

Je pensais sincèrement que l'effet de crise actuel serait une leçon pour corriger la trajectoire et nous ramener vers plus de raison. C'est tout le contraire : que se soit au niveau économique comme au niveau des entreprises, on se remet à faire des choix court terme avec objectif "cash" immédiat.

Le besoin de cash est une conséquence logique des paris auxquels ont été poussé les entreprises. Les poussant à sortir trop d'argent. La baisse de l'activité effondre le planning viable avec des retour sur investissement long terme. Tous cherche donc du "Cash" pour combler les trous.


Cette politique du moment, conséquence ou stratégie non avouées de certains, est grave. Elle ne fait que reculer le mur de l'échec du modèle économique. Elle apparaît car c'est la seule solution pour ceux qui veulent encore un peu profiter du système et s'enrichir. Comme ils sont parmi les décideurs, l'orientation a encore fait ressortir leur égoïsme.


Mais en conclusion, ce qu'ils ont omis dans cette démarche, c'est le perte de stratégie puisque les valeurs ne sont plus au centre de la politique managériale. Ce dernier effet est un désastre car au delà de l'économique, c'est tout une rythmique de la vie de chacun qui se remet en cause... On a tous besoin de repère court, moyen et long terme pour avancer. Notre entreprise doit elle aussi nous offrir ces repères.

dimanche 26 avril 2009

Ouverture et cap

Toujours motivé, j'ai pris l'initiative après la visite du Président de la République sur notre site de la plaine de l'Ain, de lui envoyer un courrier.
C'est avec surprise que j'ai eu une réponse rapide de Nicolas Sarkozy m'indiquant l'intérêt et une adresse pour lui faire parvenir le livre. Je me suis empressé de le faire même si je m'étais promis de ne pas offrir de livre! J'attends maintenant un retour...


La promotion est vraiment difficile. Il faut parvenir à accrocher un support reconnu et à forte diffusion....ce n'est pas le cas à ce jour pour moi! Mais l'idée de base de faire connaître mes idées continue à me motiver.


Comme pour la promotion de mon livre, j'essaye dans le monde du travail de garder une motivation en donnant un sens à mes actions. Où que j'aille, j'essaye, à mon niveau, de donner un sens aux actions de chacun dans mon équipe. Cela afin d'intégrer les actions de chacun et souligner leurs contributions à la cause commune : La pérennité de notre activité.


C'est l'accumulation de tels comportements individuels qui peut être payant. Le problème, c'est que ce type de comportement individuel viendra du Management qui, plus que d'habitude, doit être axé sur le leadership et le sens et les valeurs de l'entreprise.


Ce n'est pas le cas dans nombre d'entreprise à ce jour. Mise en difficultés par la le ralentissement économique, les priorités sont mises sur le contrôle et la limitation des dépenses. Cela se fait sans cohérence et en oubliant que chaque employé doit être capable, pour se motiver, de venir inclure ses actions dans une démarche globale de l'entreprise.


C'est l'énergie persistante et la cohérence dans les actions de chacun qui peuvent sauver et même faire sortir du lot certaines des sociétés qui survivront. Avec la baisse de motivation ambiante liée à la crise, les discussions qu'on observe dans les couloirs des entreprises sont noires et la passivité prend le pas sur l'initiative et la motivation.


A ce stade, en terme de Management, le contrôle des activités doit persister mais c'est l'adaptation de l'organisation qui doit devenir une priorité. Il faut ramener chacun à s'impliquer pour trouver des solutions court terme aux changements qui s'opèrent en situation de crise.


En plus de la motivation que cela apporte, c'est une rélle solution pour créer de l'activité à court terme et, ensemble, travailler à préparer l'organisation de demain...

vendredi 20 mars 2009

Espoir et perte de celui-ci

A cette date je reprends espoir car le fait de prévoir une dédicace au sein de ma société. Sans que cela soit fait, le fait d'en parler dans le cadre du Comité d'entreprise a relancé les discussions sur le sujet et étendu le nombre de personnes qui en parlent. Je vais également relancer d'autres voies comme le journal "Courrier Cadres" que je trouve complet et dans lequel j'estime pouvoir trouver une place pour un article sur mon livre.

Mon organisation du moment, tant au niveau du travail que côté personnel fonctionne bien avec l'adage suivant : "Vie bien rangée, sérénité" : On doit pour ranger sa tête ranger également son environnement.
J'aime cette image de la vie qui est comme un puzzle dont on nous donne les pièces au fur et à mesure. Les quantités fournies sont irrégulières mais l'important et de ne pas mettre ces pièces en vrac dans un coin et de prendre le soin de ranger au fur et à mesure, tant que faire ce peut.

C'est cette prise de recul qui me permet de reprendre également le clavier pour taper ces quelques lignes. Et après avoir parlé de l'espoir, c'est du désespoir dont je voudrais parler. C'est un sentiment que j'ai l'habitude de respecter mais celui dont je vais parler m'inspire le dégoût. C'est le désespoir des mauvais parieurs du monde économique. Je m'explique :

Pour relever les défis du "toujours plus", dont je parle dans mon livre, les gens ont dû faire des paris de plus en plus fous. La croissance observée en était la preuve mais a trouvé ces limites dans l'incertitude des positionnements dans le temps et la quantité des retours sur investissements.

Le fait d'en prendre conscience a amené les plus clairvoyants à calmer le jeu. L'effet boule de neige de cette prise de conscience est la crise qu'on observe aujourd'hui avec toutes ces entreprises qui remettent un peu de raison dans la société mais avec la maladresse d'un débutant et les excès associés : Licenciement à outrance et traque des coûts à tout va.

Les plans de relance vont certes amortir le choc mais cela est voué à l'échec si on n'admet pas la principale conclusion à retenir : Il faut arrêter les abus excessifs qu'ils soient d'ordre économique (rémunérations excessives, paradis fiscaux) ou écologique (consommation à outrance, non respect de l'environnement).

A bons entendeurs, merci!

lundi 16 février 2009

La gestion de ladite crise

Je continue ma démarche pour essayer à ma manière de faire connaître mon livre. J'ai pris conscience en discutant avec mon éditeur de la difficulté à appréhender l'échelle de temps qui est associée à la publication d'un livre. Celle-ci est différente du monde industriel automobile ou tout va très vite de nos jours. Je suis un peu trop impatient et dois apprendre à attendre un déclic. Dans tout les cas, il me faut insister...


En parallèle, et pour parler de la crise, je souhaite l'aborder d'une manière différente :

Si il est sans appel que le plus important est de gérer les situations difficiles de ceux qui vont rester sur le bord de la route, il est également d'autres comportements qu'il faut gérer.



En effet, il y a aussi ceux qui restent. Les managers se doivent en parallèle de motiver ceux qui veulent avancer et aideront la société à passer le cap. Ces personnes iront chercher la motivation dans "leur tripes" mais le complément nécessaire doit être amené par le management. Celui-ci doit donner un sens aux décisions prises, fixer de nouveaux objectifs et indiquer les jalons à passer pour atteindre les buts définis et partagés avec l'équipe.



Je constate dans les commentaires qui me sont fait et par mon vécu une sous estimations de cet aspect du management en temps de crise. Espérons une correction rapide pour construire rapidement une nouvelle machine à remettre en marche et à laquelle viendront se connecter nombre de personne lorsque tout se remettra en marche.


Souhaitons par contre que la machine qui viendra se remettre en route aura modifié certaines règles avec plus de d'honnêteté et un retour à une échelle plus humaine du management, des périmètres géographique et de la vie de chacun! Pas une volonté de croissance permanente mais une maîtrise équilibrée des besoins. A nous de mettre en face les moyens et les organisations adéquates...

lundi 2 février 2009

Retour à la charge

Le thème retour à la charge est effectif pour 2 domaines différents :


Le premier est le domaine de mon activité professionnelle. En complément de mes activités actuelles, je viens d'être "nommé" sur un projet très intéressant pour moi, tant au niveau technique qu'au niveau relationnel. Je ne souhaite pas en parler plus longuement mais simplement pour justifier, si il se doit, mon manque de contribution à ce blog...


Le second est le domaine littéraire car en dépit de l'activité décrite ci-dessus, il me faut repasser à la charge pour aider le destin qui répondra de la réussite de mon livre : Sans le support de l'auteur, comme me l'a répété mon éditeur, les chances sont limitées.

Il faut donc que je prolonge mes prises de contact et c'est ce que je fais depuis quelques jours pour faire précipiter la réaction chimique que je tente de réaliser dans cette expérience littéraire.


En terme de sujet d'actualité, je souhaite, même si cela manque d'originalité, parler un peu de la crise. Mon livre se situe au coeur de celle-ci puisqu'on y trouve les réflexions d'un acteur du monde automobile, fortement touché. Nombre des 45 000 chômeurs supplémentaires de décembre 2008 sont dans ce secteur malheureusement...

Les auteurs à succés sont souvent repérés par les thèmes qu'ils choisissent, je ne prétend pas être un grand auteur mais je pense pouvoir affirmer que mes propos sont dans une thématique qui mérite d'être discutée.

Mes propos à ce sujet sont je le pense intéressants et peuvent être support pour communiquer sur le sujet de la crise avec une analyse économique mais aussi et surtout, des solutions pour comprendre et se protéger de ce système industriel.

Le faible recul qu'on a à ce jour nous laisse à penser que les décideurs industriels profitent de l'effet d'annonce pour nettoyer leurs troupes. Certains le font de manière forcée, puisque contraints par des clients dits partenaires...mais je pense que d'autres profitent du mouvement à des fins manipulatrices...
Espérons que l'effet amplificateur ne sera pas trop marqué, mais admettons la nécessité d'un coup brutal pour amorcer un changement dans les mentalités. Cela afin d'arrêter les paris risqués et autres absurdités que génère le dérèglement des échelles géographiques.

dimanche 11 janvier 2009

Dure réalité des débuts

Bonjour et meilleurs voeux à ceux qui liront ces lignes. Après la vague de vente aux proches : famille, amis, collègues et connaissances professionnelles, le moral est moyen. Même si les premiers retours sont plutôt positifs, c'est la courbe des ventes qui m'inquiète. Le volume est pas mal parti mais comment garantir une diffusion à une échelle plus large?
J'ai fait une petite pause pendant la période de Noël mais je dois maintenant reprendre les activités. Au programme contacts avec toute personne susceptible de m'aider dans la communication et suivi des activités de l'éditeur qui travaille de son côté.
Côté sujet, je souhaite entamer l'année avec une réflexion qu'on retrouve dans le livre. Le bien être appelle le bien être. Sans attendre plus de la vie qu'un support pour vivre mes passions, je confirme cette année que toutes les activités qui rythment mon quotidien, toutes les rencontres que je fais, m'offrent des moments riches et agréables. Si en plus je transmet à mon entourage mon sentiment, l'effet sur tous est démultiplié! Ainsi, à mûrir, je réalise peut à peut que je n'ai pas besoin en permanence de courir après quelque chose et que mon existence me convient! Je sais que ce n'est pas le cas de tout le monde mais si déjà les personnes concernées pouvaient arrêter de courir en répondant à la règle du toujours plus tant appliquée de nos jour...