lundi 31 mai 2010

Avec le temps...

Ma première cession d'examen est passée en décembre et les épreuves de janvier également. Le livre 2 avance, difficilement vu la charge de travail. J'ai eu les résultats de l'écrit...pour l'instant OK. Beaucoup de boulot pour absorber les connaissances demandées puisque je réalise en même temps que le master "Management des Industries pharmaceutiques et Technologies Médicales" un Diplôme universitaire scientifique de connaissances médicales et pharmaceutiques.

Une façon différente de faire fonctionner sa cervelle par rapport à l'activité professionnelle mais  avec un bienfait indéniable pour moi, tant au niveau des connaissances, de l'ouverture d'esprit et de l'expérience humaine.

En terme de sujet, je vais partir sur une réflexion d'ordre générale : Quand on est enfant, on s'intéresse à tout, on joue avec des jeux, on s'émerveille. Bref, on vit! Plus on vieillit, plus on perd cet état d'esprit, plus on est blasé. Quand ce sentiment disparaît complètement, on meurt! On doit donc avoir une explication à cela. Je pense que la première, et la plus simple, réside dans l'intérêt facile qu'on a pour les choses puisque enfant, tout est découverte, donc on se construit des projets avec son environnement sans problème.

Plus on va vieillir, plus on doit, comme je le propose dans le livre, avoir des projets court, moyen et long terme pour jalonner sa vie. C'est une condition sine qua non pour maintenir des perspectives qui nous font avancer et ne pas vivre uniquement au quotidien.

Pour être motivé dans le monde professionnel, ou pour motiver un membre de l'équipe, il faut lui offrir le même type de schéma de projet court, moyen et long terme mais avec une échelle un peu décalée :
. En court terme, ce sont les actions au day to day qui seront les jalons
. En moyen terme, ce sont les échéances d'un projet en cours qui peuvent varier entre 6 mois et 2 ans
. En long terme, et c'est là que se lève la problématique, c'est la contribution personnel de l'employé dans la politique d'entreprise et son impact sur celle-ci. Et c'est là que la politique générale se doit d'être dynamique. On doit avoir un esprit de corps dans la société et une démarche qui a un sens pour tous. Hors, dans certains cas, on oriente plus la performance sur la base d'une émulation compétition qui amène plus à un égoïsme qu'à une construction d'esprit d'équipe pour l'accomplissement en commun d'une mission...

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